Ce sommet très attendu a été marqué par des avancées inédites mais jugées globalement insuffisantes. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a estimé lors de la clôture de la COP26 que le pacte de Glasgow était un « compromis », qui n’avait pas réussi « à surmonter certaines contradictions profondes ».
Ce sommet très attendu a été marqué par des avancées inédites mais jugées globalement insuffisantes. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a estimé lors de la clôture de la COP26 que le pacte de Glasgow était un « compromis », qui n’avait pas réussi « à surmonter certaines contradictions profondes ».
Les énergies fossiles enfin sur le devant de la scène
Le texte intègre pour la première fois la notion de « réduction de l’utilisation d’énergies fossiles » (pétrole, gaz, charbon). Mais à la dernière minute, l’Inde et la Chine ont demandé de remplacer le terme « suppression » par « réduction ». Le ministre indien de l’Environnement a défendu à la COP le « droit » pour les pays en développement « à un usage responsable des énergies fossiles ».
Déception pour les observateurs
Les observateurs et ONG ont vivement critiqué le texte.
Selon Réseau action climat : « Malheureusement, nous constatons que le texte est toujours loin de refléter l’urgence de la situation. Il y a un énorme décalage entre ce qu’on y lit et ce que nous dit la science« .
Un résumé des engagements pris lors de la COP26 sur Franceinfo